h : a l
bJ .
Les Vfoioguej ^ugés...
Depuis maintenant près de trente ans, des amateurs consacrent une
grande partie de leur teapa et de leura financée à faire des recherches
diverses sur ce qu'on appelle le phénomène O.Y.N.I*
Ile ont nommé cette activité l'üfologie ( du aigle américain U.P.O.)
D'abord individuellement, puia regroupée en aaaoclatione pour plue d'ef¬
ficacité, cea personnes ont amassé un important capital documentaire aur
la question, composé de témoignages, de rapporta d'enquètea, de documenta
photographiques, d'études diverses, etc»
£t, malgré lee résultats négatifs des travaux entrepris par le monde
scientifique (commissions américaines des années 50)• cette recherche pa¬
rallèle était dans la vrai an paraiatant dans sa quêta, puisque vingt ans
après la parution du rapport "CONDON", n[ant purement et simplement l'exis
-tance du phénomène an question, le monde aoientifique, pmr l'intermédiaire
du C.N.E.S. (Centra National d'Etudes Spatiales) créait une aection spécia¬
lisée dans 1'investigetion dae phénomènes U.F.O,, désignée par la aigle ;
G.£,P.A.N. (Groupement d'Etudes des Phénomènes Aérospatiaux Non-identifiée)»
TJn an après cette création révolutionnaire mondialement (seul organis¬
me officiel étudiant ouvertement lee O.V.N.I.) lee premières conclusions
du G.E.P.A.N. noua apprennent que le phénomène existe.
L'Ufologie devient alors une recherche scientifique au adme titre
que 1*exoblologle, faute de ne pouvoir encore l'appeler une science»
Nombre d'TJfologuee amateurs sont satisfaite, il# ont gagné la partie, seat«
ble-t-il. Ile ont eu ralaon de continuer leur travail.
Male reconnait-on eette légitimité? Kh bien, i^enl
La presse continue à ee moquer des aaeoelations en lee aeeimilant à dee
eeotee religieuses et certaine auteure très connue vont mémo Juequ'à cri¬
tiquer sévèrement le travail de cas "pionniers" de l'Ufologie , sans tenir
compte du nombre d'efforts, de tempe et d'eepolra déçue, dépensés, pour quoi?
une ingratitude de toue. Sans vouloir tomber dans le drame, il faut reconnaître
que certaines personnes sont culottées d'émettre dee avis de ce genre aur
le travail durement aocompll avec dea moyens aussi dérisoires.
- 1 -
Sans faire de l 1 auto-eatisfaction, je pense que le rSle des associa¬
tions privée? a été essentiel Sans la pcursuita et 1 *aa*l.orat ion J e
la recherche en matière d’O.V.N.I.
Feureuseaent« le Z .S»? .A .N * semble ouvrir ses pertes aux cher¬
cheurs amateurs et tenir Comptes des données déjà amassées par le
paacé. Avidement, la recherche ta prendre une toute autre tournure,
plus rigoureuse, plus technique et nous l’espérons tous, apeu/éa par
plus de moyens.
Mais elle sera obligée de tenir coopte de ses origines et de ne
pas les renier.••
Raoul Robé
Secrétaire du G.P.U.N.
I»e Groupe Privé Ufologlque Rancéien est membre du Comité Nord-Est des
Groupes Ufologlque*, membre du Comité Européen de Coordination de le
Recherche Ufologiques.
Notre aeeooletlon tient à remercier ld tous ses correspondants
pour leur Service de Presse et leur collaboration»
- 2 -
- 7
I -w
' H' ■
m jb + J-h.
Ayajst *u la rare avantage d'être personnel. tarent témoin, j• e^sa^er ;e
faire un rapport aussi précis et objectif que possible, puis i'en analyser 193
implications en me priant ie toute subjectivité.
L55 Cia&yiST . -NCSS Î
L 1 a ^ i au-ne a su s as i J agglotaé ration nancéienne
A-?? m notent il3 faits | 21 ans
Data exacts , samsai J octobre 1?67
Heure anrroximntive i 19 h 20 (locale)
Conditions météo » périodes d'éclaircies entre Isa passades pluvieux* Vent violent
sensiblement de N.—7.
Conditions de visibilité i excellente au moment des faits
Vue du témoin i astigmate at myope mais parfeitarent corrigée par lunettes toujours
portées.
Je tiens à préciser qua pratiquant la compétition en aéro-modélisme de vol
libre| J'ai une grande habitude ie regarder le ciel* Je m'intéresse également à
l'astronomie. Je sais dono parfaitement ce que sont une inversion de température,
un nuage lenticulaire, on halo et Je aaie reconnaître dans le oiel les plane tes
visibles à l'oeil nu, Je aaie aueei Juger des diatanoes* Je n'ai d'ailleura Jamais
rien vu d'autre de bizarre dans le ciel, ni avant, ni après, qui réeiete à mon
analyse. Je orole toutefois que par deux fois J'aurais pu être abusé par dee
sources lumineuses qui se sont ensuite révélées être dee avions* La leoteur voudra
dono bien admettre que je na suia à olasser ni chez lae "trèp antbouaiaetes" ai
ohez lee "facilement ebueeblea" qui auraient pu "aire dans ces deux oas un coopte
rendu d'observation d'OVBI... an allant un peu vite h oonclure* Pour finir mon
auto-portrait, Je dirai qua Je aula desalnateur at doué d'une excellente mémoire
pour lee fai ta qui me frappent*
Ca aamadl 7 ootobre 1967» il avait dono fait un temps abominable, pluie
ininterrompue et vent soufflant en tempêta de B.-T. (probablement autour ds 20 m/e) }
En soirée il ne pleuvait plus sana arrêt, par contre le vant rectal t toujours ausai
fort* Pendant les périodes d'éolelrclea, 1'atmosphère "lavée" était d'une extraor¬
dinaire transparence et dan a lea saxes trouéea du plafond nuageux lee étoiles
aointillaient comme rarement aur la clal d'un noir d'enora.
Evidemment, ce plafond nuageux était axtrèmast baa, ai bas qua lea lumières
de la villa l'éolairalent d'un grla jaunâtre. Coapte tenu dea conditions d'hygro¬
métrie, daa etretua extrêmement "turbulés" aa tarinaiant à quelques dizaine® de
mètres d'altitude. Ce a nuagee là étalent enoore plue illualnée par la villa et leurs
évolutiona parfaitement observable#.
Ayant précisément un concoure d'séro-modéllsme prévu la lendemain, o'est à
Juste titra qua Je m'inquiétais de cette météo at o'eat oa qui motiva ma sortie
pour observer l'étendue du "désastre"• De mon poste, en haut dee eecaliare exté¬
rieure de la malaon de mes parente, Je surplombais légèrement la ouvatte de Sancy
puisque oette maison est bâtie aur las pentes du plateau de Malsévilla, au &.S*
da la villa* Je prenais un oertsin plaisir à regarder las évolutiona daa nuages
quand bruaqusment Juste an faoa da mol apparut un phénomène liminaux*
Elan eûr, à oetta heure-là, il faisait nuit noire* 1 oa moment, il ne pleurait
plue, nul etra-tue na ae traînaient dans mon champ visuel, la vision était Idéale.
Dana une direotion qua J'évaluais lornédletement S.W+ (272* après vérlfioetlon
mu oomp&e), légèrement au-deaeua da l'horiaon "s'alluma" on quelques brefs instante
(l/2 eeoonde?) un objet extrêmement lumineux que Je prends Immédiatement pour une
fusée éolairente. Aapaot bleno axtrimeaant brillant at sans oontour défini du
nsgnéaiua qui brâla* Cala produit uns fumée ( 7 ) abondants qui renforoe ma oonvio-
tlon d'être on face do magpiééium brûlant. Catta fumée s'éloigne rapidement vers
la gauebe poussée per le vent qui aouffle toujours an tempêta, éolairéé d'abord
par la phénomène puis par las luaières da la villa alla oa permet de situer
assez exactement l'objet en profondeur. Outre l'inoongruité da la préaanoa d'uns
fusée éolai rente su-ds a eus da la villa, son IMMOBILITE ABSOLUE malgré la vent, me
fait déjà douter da oette explication. D'où Je suie placé. Je surplomba légère¬
ment lee toitee trempée par la dernière averse at la reflet de oette lumière sur
- 3 -
csa -o- - g i# 1 *I ji:^ r. i« U üst^^» Sur î® c—1*
*^î*t ^ ' £ jC 3 «
Alo rs juc j'xva;* iêjî l‘lèpressi :n A'aasis:*r à quelque chose d'injol-ie,
la phenor-r.® évolua sp«c;a.cxil:ii rsren t ; la lumlnos *~.é décroît #: ceal ^e transfor •#
•ara transition ser.sibl« an un objet par fautamons net à coo tours parlaitamer;t :d:'ini 3
•;vu t tout à fait l 1 aspect te la pleine 1 un a la plus lumineuse posai bl a ( iuar d *1
va geler très fort par exemple). C'eat—L-iLiroj dimension apparente d'une petite
pleine lune, éclat et couleur blanc vaguesent jaunâtre identique- Izaobilité tou¬
jours aussi ri^oureuoe par rapport à 1*environnaient. 2nf~n, l'objet est maintenant
PLUS 3HCS qu 1 avan t,
Ensuite cela évolue rapidement, J'ai très nettement l'impression de ae trouver en
feit devant une sphère en rotation rapide eutour de son axe vertical, danu la senu
horaire rue de dessus. Sphère qui eugnen ta de volume apparent en eéae temps qu'a.le
devient de soins en moins lumineuso, descendant progressivement daàs le jaune,
1 1 orange, le rouge, etc. Tandis qu'elle eet Jeune-orange et grosse cosise le pleine
lune eu lever, un anneeu de vepeur extrêmement turbulent •• forme eutour le mon
équateur et semble entrelné, qouique moins rapidement que le meeee, dans le mou¬
vement giratoire. Tout en reetent 8 ICO U RE US ELI SK T immobile et en AUGMENTANT toujours
de volume apparent, le epbère •'éteint progresai venent St PERDA.PT SON CORTSASTE
•vee le fond du ciel, nais en gardant Jusqu'au bout se netteté de contours. Dimen¬
sion apparente finale i un gros soleil oouobant* Durée totale? Au pifomètre de
l'ordre de 45", peut-être 25 ” pour le début et 20" pour le fin, sais ÇA m'étonne
toujours qu'il ait pu se passer autant de choses en ai peu de temps.
Ce réeit. Je l'ai fait depuis bien des foie et è des gens de toutee qualifi¬
cations, personne n'e pu avancer l'ombre d'une explication cohérente* Après coup!
pee sel estomaqué. Je me suis précipité sur le calendrier en espérant y trouver
le pleine lune, e'eet-A-dire que Je a'auto-persuadais d'incapacité de reconnaître
le luneJî En fait, on était à un Jour de le Nouvelle Lune et puis, la pleine lune
eu couchant*..î
Alors il reste A disséquer, et Je crois qu'il j a IA eetière à réflexion car
J # ai assisté à l'apparition et A le disparition du phénomène et c'est peut-être
natructir.
A noter que Je n'el cloaeé cela OVNI qu'A contre-coeur, car çà a'avait rien
de le soucoupe M t6le et boulons" que J'aurais blsn voulu voir. J'étais même un
peu déçu.
ANALYSE.•• eu royaume de l f absurde.
— première constatation i eur les 360* "disponibles", oele apparaît là où je regarde.
C'eet déjà bizarre mais peut-être une coïncidence|
— IA où o'ét&it, il n'y avait rien de visible, ni avant, ni après. Ve l'éolairage
de le ville (très importent, moauemente historiques. Place Stanislas, eto.) ai
quelque ohoae «'était trouvé IA, je l'eurele vu.
— l'objet dans le seconde phase avait l'elr parfaitement matériel, il n'était plue
extrêmement lumineux. Il eet "grosso modo" passé per lee teintes et éclats ds le
lune (quand elle es lève dans la brume per exmspla) plutôt que du eolall.
-l'objet semblait intarférer avao le milieu (le "fumée", l'anneau de "vapeur**) maie
n'y semblait absolument pas soumis (immobilité absolue dane le tempête),
— Dompte tenu des oondltione etmoephériquee, ose "vepeure" pouvaient parfaitement
être un stratus provoqué par le préeenoe du phénomène. Au début, le "fumée", indis¬
cutablement, partait de l'objet pour aller as dllusr à plusieurs centaines ds
mètres. Quant A 1'anneau, il avait tout A fait l'eepeot des stratus que Je voyais
se déplacer avant et eprèet*. seulement Je ne le voyais ni approcher, ni s'éloigner
de le ephèrm, uniquement tourner! eutour et nulle part ailleurs que préolsément
A l'équateur*
— autre enoaelie, tout oe manège passa totalement inaperçu alors qu'il ee déroule
ett-deeeue d'une grande ville, à basse altitude (environ 200 m), présente dee
dimensions et une luminoeité ooneldéreblee. Sien aflr, il faisait très mauvais, maie
tout de même! Je e'ettendaie A trouver cele en première page du Joumal| rien J !
— contrairement eux affirmations dee "antl—eouooupietee", J'affirme que tout eu
long de 1 'observetion, J'eeeay&le de eoller dee explioetlone "noraalee" sur ee que
Je voyais et que je dévala y renonoer eu fur et A mesure de l'évolution du "epec-
- 4 -
tacie'*. J'ai mése essayé le le convaincre qtie j' 17 x 1 s ^al ru er co-iant une e:..:-
«ation lunaire* alors qu'elle n'«x r li4u*lt pas lu tou*, ce que j'avais vu e; qu'a..*
se heurtait à des ispossabililaa lunaires elles aussi (nouvelle lui.e et iirecueil
et heure de l'observation),
-en ultime conclusion je peur aller jusqu'à déluire que :
a) quelque chose est apparu là où il n'y avait rien,
un premier temps cela était extreseoanc lumineux sais ne semblait pas
#tre un solide, ou ai solide il y avait il était Indécelable au centre de cette
lumière,
c) cette lumière ne pou ait psa Itre fixée à quelque chose extérieur à elle, elle
l'aurait puissamment illuminé ,
d dans un second temps, 0 'était au contraire une sphère parfaitement matérielle
au£centant de volume et diminuant de luminosité en tournant très vite autour de
son axe vertlosl et ce sans aucun aplatissement,
e) cette sphère ne seshlalt rigoureusement pas soumise aux mouvements violents de
l'atmosphère,
f /cette aphère semblait interférer jusqu'à une distance sensible de sa surface
aveo l'atmosphère puisqu'alle provoquait une condensation et l f entraînait dane son
mouvement giratoire,
g) elle n'a pas semblé ee diluer progressivement sais, au contraire, garder sa maté*-
rl alité Jusqu'à l'instant ultime de son extinction,
h) là où elle était il n v y avait plue rien.
Je préclee qu'il n'y avait aucun obstacle entre mon poste d'observation et
l'objet. Nulle lltfte à haute tension dans le secteur et auoune tendance èragauae
dans la météo.
J.C.
cause
Cm zoo J
hsguis
St/g R5WO PJOt* PC tn UU'T
- 5 -
Groupe Privé Ufolcgique Nïancéien
A»*OC)A no* d<CLA*tA UNI BUT lUCMAT>f - LtM PM JUtllST 1 *01
ENQUÊTES - OBSERVATIONS
ÉTUDE DES OVNI
(Objets Volants non ioentifiéS)
NANCY. LS I3/OI/79
OBssa'/ATcaci d'c; cîgais dabs ls cî 3 l n'avc 2 I 2 ;î
Date de l*ob 3 ervation t
Lieu de l'observation t
Heu re «
Nombre de te'oins l
mercredi II janvier IS 79
Cha.cpr-le- 2 oeuf (üaxëville 54 )
8 H 30
I
Déclaratior.j du témoin t
"Alors que Je nettoyais les carreaux de l'unes de 3 fer.Stros de non ap¬
partement, situé 19 , rue de la Ôeille, Je remarquai au loin un étrange objes
dans le ciel vers l'Ouest de la 'ri.Ile de Xoncy.
Il était oval , allongé horizontal, de couleur rouge oat et seublait tour¬
ner sur lux-neae danp ses évolutions. Au début, Il ro 3 ta fixe dans le cxel, pui
après 10 oinutes .d'imrobilits, -il s.'éioigria d'abord lentement* Soudain il prit
ae l'accélération et se déforua pour cispuraitre à ma vue caché par le 3 naisor.3
& 1 'horizon. n
Her.arflu <?3 t
— l'observation a duré au moins 10 minutes,
« la distance entre le témoin et le phénomène est dd l'ordre de plusieurs cr,
- les dimensions de l'objet n'ont pu 9t?e évaluées,
«la forme générale de l’objet s'apparentait à un cigare»
- aucun détail de structure n’a été remarqué,
- aucun bruit ni perturbation quelconque ne fut perçu,
- la couleur de l'objet était rouge mat (435 au pantone)
- la vitesse au phénomène a varié pendant l'observation, de lente à rapide.
uo 3 cin du cncr.omêne t
T Cl
TW » CM frv .
Groupe Privé Ufologique Nancejen
ENQUÊTES • OBSERVATIONS
V
ÉTUDE OE3 OVNI
<Oajcrm mon jotNTin(s)
M / ,i. t l<
NANCY. LS 28/07/79
crssaVAEo:: d • ui: pna;
ftate de l'observation
*
Lieu
Heure
Sombre de témoins
OiTZNS LLHISEVX A FAS3S AÏ.TLW33
t vendredi 27/07/79
t Nar.cy (?4)
* 21 B 50
« 2 (un couple)
Péclnr atlor.a du témoin *
"Regardant la rue par la fenêtre de non appartement» son regard fut
soudain attiré par ur.e lumière violente venant d'un objet survolant les toits
de la ville au loin» en face de soi. J'appelai, alors mon épouse pour voir le
sPectaole.
Pendant au'moins cinq minutes, l'objet de forme assez indéfini, car trop
lumineux do couleur j&ure brillant, semblait se rapprocher de nous car il gro<
sissait* Neanmoins; 11 paraissait imr.oblle dans le ciel sans étoile.
La forte lueur s'eSi éteinte progressivement. Cela faisait la seconde fois
que nous apercevions une lueur étrange dans cette partie du ciel entre les toi
qui forment l'horizon."
** 1* phénomène a pu Stre situé à environ I km des observateurs et & une altitu
inférieure i 1000 m,
~ la lumière dégagée par l'objet était fixe d'un jaune brillant (102),
~ les dimensions apparentes s'approchaient de la dizaine de* centimètres,
“ aucun bruit, ni perturbation diverse n*a pu Itre perçu,
“ la temps était chaud» le del légèrement couvert, aucun astre visible.
Jescln du t:héno:nène d'arrén témoins
toct4L 1 te. mUK oùiLacRT>ox-eixcr)CcouRT • ssooo NANCY
-07-
Mu
UKlga<rli^
Iæs extra-terrestres survolent-ils les
bases de misssies ?
Au frri sérient Salon cto Bourget lepubii m découvert, entât le f
fu j*Iige,K ilv iufvrm.it io* sur tes ovnis. Lot fruits de rtiMlluetnM*
ttoD et de PïtnzgLia ticu a uu coeur de Sa science et de ta tectonique f
Nvn p,i5. .litj&tiid'ùui. Ses scientifiques ont rangé méfiance ou
$*r*.*\rnta; lis adapte ni fort aux objet* votants nou hhniïfié* une
ati/Urde plus ils ou retire, plus méthodique. I* faut dite que» deux
U'jrsijce* (dont tu de Jean*Ciuude DouatO ta tetuaifnent ces
Jour* ri ha tvn j Jugent parivh perplexes années et gouverne-
/uta tu*
tn^iquer tartes les observations
d‘i riions vobtus p;*r H iw« évfi’Jé
p*t-l 3 < Juiro 1 rs esprits cin 4 kni
l-oiifciemps. les M.w'nÜfiqi» ont
aJe i ede dàiD^rlu 1 ,
r
les r«*|«puAi uTtof^ éoigo-
tuinicf vin m peut ?)us xérivux.
. AirJhl. 20 4 25 des doriiai
«st tlysL en rr.inct! par le Centre
«.national d'étudu «patialei (ci
émanant Kouvud des gendarme-
r a J mtenl ili inesUiq jà.
Les objet* apcu'ui i.u sont ni
canukit, ni balluns.»ondef, ni
■ mirants* d laissent place ainsi,
en Franco comme tuix Lials-Unis
ou en URbS» 5 de multiples points
d'inUrjogation. Cvnnwm, en
effet, avancer un soupçon de
jt tarification de cca phénoménal ?
Homo sapiens
et miracles
expliqués
Certes, de nombreux ' tuteurv
ont. ccs de/rnères année*, daté la
présvnc* sur terre d'autre* civil;*
talions à plieüüurs üMrs.
Hrnsley de Puer Trench usure
ainsi (I) que Ws extra terrestres
vii tenl rfguliOieinvnl naire p!a*
nèie d**pu^ des milliers d'«>A/Kte
et q^c rr^itêdiév, Ai*ulloit, lier*
mét âu kl riiun OiO'pvirna :unt
U1 *% lit n des halnUnU du tnnd
« ? 4 1 » V * t
Ci. uu a de tu», Ut «aptiQUO
orl&m «xtraurmire alors que
peut Serge Hulin ( 3 ) et Jucquei
Berlier ( 4 ) noua commet haut des
fils d‘f«traicneilm qui ont d'ail*
le*ira tanné des tram de bur
r Antiquité retrouvées à Bagdad
ou les cartes cêoitrophiques éla*
bLtej au XVI» à partir d'oagin»
votants.
0 faut mxuro ester Charles
Bwen (5) qui fait état da rocon*
fret avec les exlra termucs (dont
uns à Vderaule, en France! ou le
chercheur suisse Von Daniken
convaincu (G) que les extra¬
ie neslr et ont autrefois anéanti
une partie de l'humanité et même
créé un homme nouveau : lltomo»
sapiens.
Enfin, pour Pkfresleavi Moatti
f?K Ws miracles faisant état
d'hommes descendus du ciel
seraient tout simplement des
manifestations d'ex ira-terrestres t
Evidemment, ces thèses multi¬
plet peuvent taira sourlia» bien
que Jean Claude Bourre! souligna
que la dérision est ■ uie double
mauvaise action, * votre les Su wo-
mes et contre U recherche scient h
tique -,
Jlmvny Carter
aussi
Pu tnut cas. itnirs b nmirsuHeda
voit uqudi! ;ur ki ouiuiv,.^. pi
| I ' , * IrMP
« V » * i.tl t ■ a | • 1 * » !.. a • i
du petit écran ouvre aujourd'hui
des dossiers ■ secrets ■. ceux des
armé»'s françaucv américaines et
chiliennes, tandis que dons le
même temps Johannes Von But-
tJar révèle Je détail du mppoits du
KGB et de lu CIA.
Bien sûr, les extraits nul nous
sont présentés p^r les deux
auteurs ne pourront pas corn* un-
crc les incréduio.
* «
Tous les
gendsurmea
m
L es TtrHfl de aaoîri ma m
étanf d llleet- Vil aine, la prise en
chassa 0e 7 mars 1977) d'un
lAitaite IV de luxeuil (ruppoct de
la base aérienne de Contre xéville),
tes observations de nombreux
gendarmes, la - pied de net * des
extra terrestres allumant une
aorte de projecteur géant à quel¬
ques kilomètres des installations
toulousaines du centre d^ludci
spatiale*, le lémoi|*iui|te lie 16
septembre )9T?3> d'un diplômé en
pliy&ique nucléaire, le gouverneur
de Géorgie... Jimmy Carter, l'as¬
saut en règle, il y a quatre aru,
au-dessus des baies nucléaires
américaines et l'étrange déposé
lion d'un caporal chilien subite*
mi*nt vieilli après une •noron*
tr€» m Tout cela, les sceptiques le
verseront au dossier de l'halluci¬
nation collective, de la mégalorna*
me, 4e i'af fabula lion, de U Ir^gi-
lité iiitoUcctuelle ou de la plus
pure imagination.
Toutefois, Jean-Claude Boorret
et JoltaiiAes Von Buttlar la souli¬
gnent abondamment, drpui* plu¬
sieurs décennies des nations et des
«. ig:mi iir.es qui oui - U* pied* sur
terre - * ï^?» r» ni temps, énergie.
IJC/ ni à !'Ob .ilinft H h'iofb
^ ^ ^ rA in^
Dé» lùit, le chef d'état inujor de
l'ai mée américaine, le général
Gcortfe C. Marshall publie un
mémorandum sut le *UHt et douze
ans plu» lard. Tescadrillc 4ÜJ du
service amciicam dt* rcns<-igiiv*
mctics de l’nr a pour misturn du
contrôler toiAj le* rapports sur les
ovnis.
En I9C«. Ses USA tt le Canada
s'aSjAA:k-nt duo cette ncheabe,
puisque bien naluivUrment. les
objet*; volants ignorent kf /ronlic-
wva. Et en 1Ü75, dta pilules
veot l'ordre de tirer un missile
A1M K sur dus ov nu.. Tiaàa oaus
alors subitemenL xny-lencuae-
neoU ah.-cs
En U ni un soviétique, lannéc «t
les JRiviccs secruU ne unt pas
moins inacùts. ils ont pensé, un
temps, évidentrr.cnt, que les pré- »
tendus ovm« cm luienl des zimti \
cecrttes américaine*. Aujour¬
d’hui, Us travaillent sur d'autres
explications possibles
Et la France ? Pas moins
concernée. Le directeur de la
gcndariderie nationale. M Co-
tliurd. confirme à Jean-Claude
Bourre t que des qucsUanrisires
détaillés sont QdicB&c* 4 tous les
gendarmes et que - Vtuigme qui
est pi* et sue le plan scientifique
ce de très impôt iMtie
Jul qu’aux Nations Unies qui. le
27 novembre 19Vb, ont crée un
organisme chargé de coordonrer
Ica recherches sur les objets
volants non identifiés.
Et difficile de ci oins que toutes
ces dém:irtl.cs vi tnl simplement
à •amusee U pubitc - piusque les
documenta révélés aujourd'hui
portant loua la mcntiun - secret
ÂU-liâ.HSUtt
«le kvh':/:c‘»ny
Ator-. «vren coïKluie?
il J’** , "* f n A
attendre. Ou à rever. Gomme les
15 mil bons d'Américains qui ojvku
rent avoir observé un ovtu.
Comme Jian-CL'iidc Bountrl qu;
révèle qu'un ovni a survolé
lit atiphlv-le Chèh au. h.rsiju'V
résidait i’a>aUJlah Klioinvhty ni
n'^n faudra pas dnvantaje A
certains Wur prttendre que c«
fanatique doit Su stof de ven-
geanr^i sanguinaire uur extr.*.
t et rentrer» ’), Cofnme toux i viix qui
espèrent que le film ■ Hem onfret
du UvLicior type • quitte un jour
le domaine de la IkÎiml
Qu tixtrs. 4 reste S v rotJtrat 4
le^iHis zijik n ^rc* (Tcsk
aaciClé douces pour une u.edé-
tvdion de î’inteiij^ence créée 4
1‘jnil.aüve d'AJbcrt Ducruq lJ
vient de l'annoncer su Bourget! et
destinée 4 organiser ouïe dr
mtuiMtei éventueb e»;vo>cj ter
de ptrsildes ciyiinsüuns cxtiv-
ter rentres.
Pascal C'IH POT
• • Ovni, t'armée p-jric « de Jeun*
Claude Bourtxt . £d. Fronce-
Empire.
t - C^vni. nous re sommet plus
senti • de Jbhrni.es Von Huit ta r.
Aux Presses de la Cite.
(U : m Le Peuple du clef - de B. de
Poer Trench. U ai Lu): (J): - La
Hacs faàulrus* • de U. de SM'*.
(J‘ut Lu*: (10: ■> Ovacernont» inu*-
MtbU’t et iocléfés sec rem * de 2*
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